Les thermes bleus

thermes bleus
Ce lieu est vraiment spécial.
Malgré les difficultés rencontrées pour l’atteindre (traverser des champs sous la chaleur écrasante de l’été, marcher à travers d’interminables fourrés “hostiles”, sauter par-dessus des cours d’eau dissimulés, trouver comment accéder aux bâtiments, se souvenir du chemin pour en sortir… ) la nature a fini par me dévoiler ce qu’elle avait de précieux entre les entrailles: un magnifique complexe thermal à l’abandon.

D. Phoenix

Genova

Genova

De manière générale lorsque l’on veut visiter l’Italie, on pense souvent à Venise, Rome, Florence, Naples ou encore Milan. Derrière ces villes “incontournables”, on trouvera par exemple Sienne, Vérone, Bergame ou encore Gênes.

Entre mer et vallons, Gênes est une ville discrète comparée à ses consoeurs plus connues. Elle possède pourtant elle aussi un patrimoine hors du commun avec notamment ses 42 palais classés au patrimoine mondial de l’Unesco.
C’est ainsi que j’ai commencé mon excursion: en déambulant appareil photo à la main dans la vieille ville, à travers les ruelles à la recherche de ces fastueux édifices. Attirée par l’horizon de la mer entre d’étroites allées, j’ai continué vers le vieux port orné par les façades colorées des habitations. Je m’y suis arrêtée jusqu’à la nuit tombée profitant de la vue et de la douce ambiance nocturne.
J’ai visité également l’une des plus grandes nécropoles d’Europe: le cimetière monumental de Staglieno. Ce site de 33 hectares abrite de remarquables sépultures et tombeaux tous styles confondus. L’art et le talent au service de la mémoire.
Pour conclure ce voyage à la découverte de Gênes, je me suis rendue à Nervi, petit quartier bourgeois avec son authentique port de pèche et ses côtes rocheuses offrant de longues heures de balades et de baignade. Le paysage est époustouflant et diffuse comme un avant goût des Cinque Terre!

D. Phoenix

Retour du couvent

couvent des ursulines

Voici un lieu que j’affectionne notamment pour la luminosité, l’atmosphère ambiante ou encore la situation géographique improbable. 

J’avais découvert le Couvent des Ursulines en janvier 2017. Nous sommes 2 ans plus tard. Le lieu a beaucoup changé.
A l’extérieur, il y a bien plus de végétation. Il est vrai que la première fois que j’y suis venu, tout était enneigé. A “l’entrée”, au dessus de la porte principale, il y avait cette effigie en pierre d’une femme qui se tient le visage dans les mains. Aujourd’hui, elle n’a plus de tête. Curieux. Surtout que cet accès est maintenant bien engagé de branches et de feuilles.
A l’intérieur, beaucoup de choses sont cassées et ont disparu. Il y a eu du passage, beaucoup de passages… dommage. Les vitraux du hall d’entrée sont quant à eux brisés. Ils avaient pourtant résisté au temps. Certaines pièces ont été vidé, comme à l’étage où il y avait 3 grandes vasques et de longues rangées de casiers en bois décorés de tapisseries enfantines… Quelle tristesse. Bref. J’ai enfin découvert “la salle du diable”. Beaucoup de petites bougies rondes au sol. Telle continue l’histoire macabre du couvent des Ursulines…

D. Phoenix

 

Fin de journée à l’ombre

garage hélicoidal

Petite ballade après le travail au garage hélicoïdal.
Il avait fait chaud toute la journée et il faisait si frais à l’intérieur de cet ogre d’acier.
La lumière était sublime. Partout où mes yeux se posaient, la lumière était parfaite! Et puis, là-bas, on s’y sent différent. Plus calme. Plus posé. Le temps ralenti.

D. Phoenix

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D. Phoenix

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