L’Hôtel des Flots

L'hôtel des Flots

Je n’étais pas sure que ce spot soit intéressant à photographier lorsque j’ai vu l’hyper proximité des habitations avoisinantes, ce qui pouvait signifier une détérioration du lieu. Ce fut une très belle surprise! Certes comme je m’y attendais l’hôtel avait été malheureusement saccagé mais il subsistait encore le caractère unique du lieu.

Aujourd’hui, ce spot est en ruine et le peu qu’il reste est mal fréquenté.

D. Phoenix

Le sanatorium juif

sanatorium juif

Il y a des lieux que je veux rapidement prendre en photos avant qu’il ne se dégrade trop. Ici, c’est plus ou moins le cas. Le bâtiment a connu énormément de changements structurels qui l’ont modernisés jusqu’à sa fermeture dans les années 90. Néanmoins, l’histoire de ce sanatorium est vibrante. A l’étage le plus haut, assisse à même le sol d’une immense terrasse où les tuberculeux prenaient leur bain de soleil, j’aurais aimé m’adosser à ce mur sale et ne plus bouger pour observer ces âmes animant des passages de leurs vies. La maladie, les guerres, les rafles… femmes, enfants, héros, héroïnes…

Ce lieu chargé d’histoire parait attendre une fin qui se veut misérable, alors qu’il aurait pu en être autrement.

D. Phoenix

Les thermes bleus

thermes bleus
Ce lieu est vraiment spécial.
Malgré les difficultés rencontrées pour l’atteindre (traverser des champs sous la chaleur écrasante de l’été, marcher à travers d’interminables fourrés “hostiles”, sauter par-dessus des cours d’eau dissimulés, trouver comment accéder aux bâtiments, se souvenir du chemin pour en sortir… ) la nature a fini par me dévoiler ce qu’elle avait de précieux entre les entrailles: un magnifique complexe thermal à l’abandon.

D. Phoenix

Retour du couvent

couvent des ursulines

Voici un lieu que j’affectionne notamment pour la luminosité, l’atmosphère ambiante ou encore la situation géographique improbable. 

J’avais découvert le Couvent des Ursulines en janvier 2017. Nous sommes 2 ans plus tard. Le lieu a beaucoup changé.
A l’extérieur, il y a bien plus de végétation. Il est vrai que la première fois que j’y suis venu, tout était enneigé. A “l’entrée”, au dessus de la porte principale, il y avait cette effigie en pierre d’une femme qui se tient le visage dans les mains. Aujourd’hui, elle n’a plus de tête. Curieux. Surtout que cet accès est maintenant bien engagé de branches et de feuilles.
A l’intérieur, beaucoup de choses sont cassées et ont disparu. Il y a eu du passage, beaucoup de passages… dommage. Les vitraux du hall d’entrée sont quant à eux brisés. Ils avaient pourtant résisté au temps. Certaines pièces ont été vidé, comme à l’étage où il y avait 3 grandes vasques et de longues rangées de casiers en bois décorés de tapisseries enfantines… Quelle tristesse. Bref. J’ai enfin découvert “la salle du diable”. Beaucoup de petites bougies rondes au sol. Telle continue l’histoire macabre du couvent des Ursulines…

D. Phoenix

 

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